Excerpt from Bulletin Monumental, ou Collection de Mémoires Et de Renseignements sur la Statistique Monumentale de la France, 1867, Vol. 33Le plan de cette partie de l'église devait, à en juger (fig. L) par ce qui reste, présenter quelque ressemblance avec celui de la cathédrale de Cantorbéry. (les restes consistent en deux chapelles placées au côté nord du sanctuaire. Êa plus voisine de l'abside (a fig. Et dont la position en biais rappelle celle de la chapelle st-andré a Cântorbéry, est carrée tandis que la seconde (b, fig. 1 offre un chevet semicirculaire. La travée (c, fig. 1) du choeur qui précède l'abside, du côté du nord, appartient aussi a l'époque romane, excepté le clérestory A fig. Des tribunes dont un des arcs existe encore (b, fig. Couvraient le bas - côté du choeur. Cet arc, dans son état actuel, a été agrandi par la suppression des colonnes latérales. Nous ignorons si, comme dans les autres travées de cette église bâties a l'époque ogivale une colonne divisait cet arc en deux. Nous ferons remarquer, à 'ce sujet que les tribunes de l'abbaye de st-étienne de Caen n'olïrent pas cette colonne centrale, tandis qu'à celle de Cerisy-la Forêt, bâtie peu de temps après, où cette subdivision se rencontre maintenant partout, on peut s'assurer que dans la plus ancienne travée elle n'existait pas d'abord mais qu'elle a été ajoutée après coup. Il semblerait donc que l'usage de séparer les arches des tribunes, par une colonne centrale, aurait commencé vers cette époque en Normandie.About the PublisherForgotten Books publishes hundreds of thousands of rare and classic books. Find more at www.forgottenbooks.comThis book is a reproduction of an important historical work. Forgotten Books uses state-of-the-art technology to digitally reconstruct the work, preserving the original format whilst repairing imperfections present in the aged copy. In rare cases, an imperfection in the original, such as a blemish or missing page, may be replicated in our edition. We do, however, repair the vast majority of imperfections successfully, any imperfections that remain are intentionally left to preserve the state of such historical works.