Excerpt from OEuvres Complètes de M. T. Cicéron, Vol. 25: Traduites en Français, le Texte en RegardCrcénon après avoir terminé les trois livres de la Nature des Dieux et les deux livres de la Divination pour ne rien laisser à désirer sur ce point de la philosophie, traite la question sur le Destin. Elle appartient, comme il le dit, à la partie de la philosophie destinée 'a régler les moeurs et les affections de l'homme. Il existait deux écoles de philo sophes voisines et assez rapprochées l'une de l'autre où les plus vives discussions s'étaient engagées la première avait le destin pour objet, et se rattachait la morale, la se conde discutait le possible ou l'impossible et cette ques tion était du ressort de la dialectique. Cicéron se détermina à écrire sur les deux questions. Le commencement, et même l'ensemble de ce traité est imparfait et mutilé. On ne peut se persuader que Cicéron ait commencé son livre par le mot qw'a. Il semble que, pour compléter le sens de ces mots, quia pertinet ad mares quo: îooç illi vacant l'auteur avait fait précéder cet autre membre de phrase, De fm nobis scn°bendum est, quia pertinet ad mm:. En effet cette question appartient à la morale, parce que, si l'on admet le destin, aucune action ne dépendant de nous, il n'y a plus de motif de louange ni de blâme notre liberté est enchainée toute idée de devoir volontaire s'évanouit, tout précepte est inutile. Cicéron, après avoir examine, sur la matière qu'il discute, l'opinion des philosophes semble faire intervenir Chrysippe comme médiateur, et.About the PublisherForgotten Books publishes hundreds of thousands of rare and classic books. Find more at www.forgottenbooks.comThis book is a reproduction of an important historical work. Forgotten Books uses state-of-the-art technology to digitally reconstruct the work, preserving the original format whilst repairing imperfections present in the aged copy. In rare cases, an imperfection in the original, such as a blemish or missing page, may be replicated in our edition. We do, however, repair the vast majority of imperfections successfully, any imperfections that remain are intentionally left to preserve the state of such historical works.